Aller au contenu

Wargame

Tanks

TANKS! – Patton versus Rommel

  • par

Juillet 1944, après l’approbation du général Montgomery, l’opération Goodwood est lancée. L’objectif est de libérer enfin la ville de Caen, objectif stratégique du jour J pour les alliés, qui se battent depuis plus d’un mois en Normandie sans parvenir à la conquérir.

Début d’après-midi, dans les alentours du village de Bourguebus, des éléments blindés de la 211e Division Panzer se préparent à recevoir l’offensive. Les canons d’assaut Stug III G sont camouflés en position d’embuscade et un Panzer V Panther est caché dans un bois afin de pouvoir profiter au mieux de l’effet de surprise.

MALIFAUX – Toujours sur la Brèche

  • par

Nous sommes en 1900 ou à peu près. Voilà une époque charmante, on l’a même surnommée la « Belle époque », c’est vous dire. La Civilisation est en marche, le progrès, l’électricité, la science ! Et puis voilà, il y a la Brèche, ce passage vers un autre monde, vers la magie des puissantes pierres d’âmes. Cela ressemble à une autre dimension, un peu comme Lovecraft pouvait les imaginer. De l’autre côté de la Brèche se trouve la petite ville de Malifaux, une sorte de Mos Esley version Far-West.

FLAMES OF WAR – Late War – Ouverture de la chasse aux canards

  • par

Je poursuis ma découverte du jeu de figurines Flames of War. Après avoir fait moult batailles en Early War (1939-1941) et même participé à un tournoi à Fontaine-le-comte en mars 2015, je change de période. La période dite Late War est consacrée aux années 1944-45.

TTTT – La peinture de figurines : le matos de peinture

  • par

Vous avez patiemment dégrappé, ébarbé, colmaté, collé et sous-couché vos figurines et avez même prévu le vernis pour les protéger, mais il reste à faire l’essentiel : peindre la figurine. Comme cela a été le cas pour les phases de préparation, là encore il va falloir un peu de matériel. Je vous propose une liste de matos indispensable pour peindre dans les meilleures conditions et y prendre le maximum de plaisir.

Flames of War

FLAMES OF WAR – Peindre son armée

  • par

Aligner les petits bonshommes pour constituer une armée redoutable, ce n’est pas si simple que cela. À l’état brut, ils sont en métal brillant ou en plastique gris, on est loin du feldgrau réglementaire. Côté véhicules c’est pire, on tape dans le puzzle version trois ans et moins, mais avec plein de petites pièces plastiques faciles à ingérer.

Tutoriel peinture de figurine

TTTT – La peinture de figurines : le matériel de base

  • par

Alors, comme ça, on a décidé de se mettre à la figurine ? On ne va pas se mentir, hein, je vais vous parler de figurine de jeu, pas de ces œuvres d’art qui restent sur la cheminée ou dans la vitrine, sous cloche. Non, ici, on est chez le Gobelin Rose, on parle de bonshommes qui vont être touchés, tripotés, manipulés, qui vont tomber aussi parfois… Bref, on va parler des figurines de la vraie vie de joueur !

FLAMES OF WAR – Tournoi de Fontaine-le-Comte 2015

  • par

Cette fois-ci c’est le grand jour, celui du tournoi Flames of War. L’armée est prête, rangée, classée, c’est parti ! Pas de période de flottement, ça s’active de tous côtés pour monter des décors sur les tables, arranger nourriture et les offres du « Bring & Buy ». De nombreux joueurs se connaissent, ça discute armées, listes, batailles passées et à venir.

FLAMES OF WAR – Préparer un tournoi : l’entrainement

  • par

Si vous avez lu l’article consacré à la création de ma liste pour le tournoi, vous avez pu constater que l’entraînement et la mise au point de la liste sont deux choses qui se sont faites en même temps. Aussi je ne vais pas redire les mêmes choses. Il me semble plus utile de distinguer les points essentiels, ce que j’ai compris, appris au fil des parties. La plupart du temps, j’ai appris à mes dépends. Au passage je m’attends à apprendre énormément durant le tournoi lui-même !

FLAMES OF WAR – Préparer un tournoi : ma liste d’armée

  • par

J’avais testé Flames of War l’an dernier et vous avais parlé de cette expérience dans un précédent article. Les premières batailles m’ont bien plu et j’avais commencé une armée. En septembre, le club de Fontaine-le-Comte (86) a programmé un tournoi pour la fin mars 2015, basé sur la période « Early War », de 1939 à 1941.

CONFLICT OF HEROES – Le réveil de l’Ours

  • par

Durant l’été 1941, Hitler lance les troupes allemandes à l’assaut de l’immense URSS. Ce faisant il ouvre un second front à l’Est qui était resté stable depuis 1939 et le pacte germano-soviétique. Les Russes réorganisent leurs forces mais ne sont pas prêts lorsque l’offensive se déclenche. De plus Staline ne croit pas les rapports qui lui indiquent les préparatifs allemands. Cette confrontation implacable entre deux géants va se jouer sur des territoires, à coups de millions d’hommes. Comme l’ancêtre Squad Leader qui débutait dans les ruines de Stalingrad, ce wargame nous initie aux bases de la guerre moderne : le placement de la mitrailleuse !

Battletech

BATTLETECH – Iron Men

  • par

Bienvenue en l’an 3000, prenez place dans le petit siège du cockpit et coiffez ce casque bizarre. Voilà, vous êtes aux commandes d’un robot d’une vingtaine de mètres de haut, si vous bougez il bouge, c’est une sorte de Goldorak ! Comme l’animal pèse plusieurs dizaines de tonnes il est recommandé de faire attention aux petits trucs en bas et ne vous appuyez pas sur les immeubles non plus ! Les boutons colorés là c’est pour l’armement, fini de rigoler vous êtes un technoguerrier et dans ce monde de brutes il faut tuer ou être tué. Mais comme on est sympa vous pouvez commander plusieurs robots, des grands et des petits, histoire de jouer le collectif contre l’équipe d’en face.

AMIRAUTÉ – Torpilles par tribord avant !

  • par

26 décembre 1943, 9h du matin, le formidable croiseur de bataille Scharnhorst progresse rapidement dans une mer glaciale et agitée, au large de la Norvège. Il a envoyé son escorte de destroyers à la recherche du convoi de ravitaillement allié JW-55 B. Depuis quelques minutes il est suivi à son insu par le radar du croiseur HMS Belfast qui est accompagné du Sheffield et du Norfolk. Les trois croiseurs anglais n’ont guère la possibilité de résister aux puissants canons de 280 mm du Sharnhorst.