Sticky Stickz
Auteur(s) : la Happy baobab Team
Illustrateur (s) : Stéphane Ganthiez
Éditions : Libellud (édition originale Happy baobab)
Genre : jeu de dés / jeu d’ambiance
Mécanisme (s) : rapidité, observation, simultané
Thème : animal
Année : 2012 (sortie le 8 octobre)
À partir de 8 ans
2 à 5 joueurs
Durée d’une partie : environ 15 min.
Indicateur de prix : environ 25 euros
Elle est petite et poilue. Elle est contente, étonnée ou un brin débile. Elle peut être jaune, bleue ou verte, c’est la bestiole de Sticky stickz, un jeu d’observation et de rapidité coréen, revu, corrigé et édité par Libellud. La mise en place consiste à ouvrir la boîte de jeu et à la poser au centre de la table puis de se munir de l’arme ultime : la double ventouse ! Voilà. Vous êtes prêts à sticker !
La boîte qui sert de support de jeu est pleine de cases. Dans ces cases se trouvent des piles de tuiles sur lesquelles sont imprimées les fameuses bestioles. Chaque tuile comporte trois informations : une couleur, un nombre des bestioles (1, 2 ou 3) et une expression desdites bestioles : content, étonné ou abruti. Une tuile spéciale représente une bestiole noire avec des étoiles en guise d’expression, il s’agit d’un joker. Enfin trois dés complètent le matériel : un dé couleur, un dé chiffre et un dé expression.
Le déroulement d’un tour de jeu est simple : on lance les trois dés et, armé de sa double ventouse, on se jette, que dis-je on se précipite pour sticker la (ou les) tuile(s) correspondante(s). Un conseil, éliminez tout bibelot fragile à proximité, Sticky Stickz, ça déménage. Autant dire que la partie est animée, j’en ai même vu qui jouaient un peu des coudes pour attraper la bestiole souhaitée (non, je ne dénoncerais pas, non. Enfin, tout se négocie…). La partie s’arrête lorsque cinq cases sont vides. Ne vous laissez pas avoir par l’apparente simplicité du jeu, il n’est pas si aisé de gagner, surtout en jouant avec des enfants qui ont l’œil assurément plus aiguisé et exercé que celui des adultes.